Une vague de déprime et de dépression submerge nos pays depuis des décennies.
A un point tel qu’aujourd’hui, s’affirmer dépressif ou avouer à ses proches avoir un gros coup de blues n’a plus rien de tabou ou d’exceptionnel.
Les films, les reportages télé ou les articles de presse traitant de ce sujet sont pléthore, les arrêts maladie pour cause de burn-out ont dorénavant la même légitimité qu’un cancer ou qu’un congé maternité.
Alors, comment en est-on arrivé là ?
Pourquoi, tandis que nous avons tout pour être heureux et être satisfait, continuons-nous à nous morfondre dans cette léthargie mélancolique ?
Et si justement, c’était ça le problème. Si justement, c’était par ce que nous avons tout que le malaise a gagné nos cœurs et nos esprits ?
La consommation de masse, le frigo et les supermarchés débordant de vivres, l’eau potable qui s’écoule du robinet en illimité, l’accès gratuit aux soins médicaux, l’excès de temps libre et de loisirs, l’absence de guerres sur nos territoires, la relative sécurité de nos rues, le confort et la modernité à portée de main constituent un état de fait considéré comme normal, voire même un droit inaliénable.
En Occident, et même dans le monde, si l’on se réfère à la moyenne globale, il y a plus de gens qui meurent d’avoir trop bouffé que de gens qui décèdent de famine ou de sous-alimentation. L’enfant éthiopien le ventre gonflé par la disette qui dans les années 80 venait mourir sous nos yeux à l’heure du journal télévisé s’est fait voler la vedette par l’obèse américain qui s’écroule d’une crise cardiaque après avoir ingurgité son douzième hamburger d’affilée. Ça en serait presque risible si ce n’était pas dramatique.
Oui, l’Occidental moyen vit dans l’opulence, même s’il ne s’en rend plus compte. Il a oublié qu’à l’échelle de l’histoire humaine, cet état d’abondance est un privilège, une anomalie de l’évolution.
Des problématiques qui n’en sont pas
Quand nos ancêtres chasseurs-cueilleurs passaient leur journée à pister des animaux dans la forêt, hantés par la peur de l’échec et celle de voir femme et enfants crever de faim, les hommes modernes que nous sommes ont pour préoccupation première de savoir si le tweet de Machin doit être considéré comme raciste ou misogyne, si le supposé dérapage d’Untel ne serait pas un peu homophobe ou grossophobe ou si le pictogramme lumineux qui indique aux piétons s’ils peuvent traverser ou non ne devrait pas plutôt porter une jupe dans un souci de parité.
N’a-t-on vraiment rien de plus urgent ou d’important à traiter pour que l’on se focalise sur de telles futilités ? Il faut croire que non… et dans un sens, c’est la vérité.
L’écrasante majorité des Occidentaux assouvit aujourd’hui sans grands efforts l’intégralité de ses besoins physiologiques et de sécurité qui, selon la Pyramide de Maslow, sont la faim, la soif, la sexualité, le sommeil, l’élimination et la possibilité de vivre dans un environnement stable et prévisible (avoir un toit, absence de guerre, accès aux soins, certitude de ne pas se faire dévorer par les loups quand on se promène en forêt…).
Pourtant, il n’y a pas si longtemps que ça, l’être humain consacrait la quasi-totalité de son temps à s’assurer qu’il ait de quoi boire et manger, puisse s’abriter des intempéries et ne soit pas déchiqueté sous les griffes d’un ours ou la hache d’un ennemi. Nos ancêtres avaient peu de temps libre et de loisirs et concentraient toute leur énergie, leur temps et leur esprit sur un unique projet d’envergure : survivre !
Mais de nos jours, la donne a changé. Il n’est plus nécessaire de chasser pour manger, d’aller au puits ou à la rivière pour boire ou de sortir armé pour se protéger.
L’ennui se répand comme une trainée de poudre
Du coup, on s’emmerde ! On s’emmerde et on finit par déprimer, car on ne trouve plus de sens à notre existence. On a tout à portée de main et à volonté. Nous jouons à un jeu-vidéo dont nous possédons tous les codes nous permettant de tricher et de passer d’un niveau à un autre sans avoir à affronter le méchant ou résoudre l’énigme. Le problème est là !
Alors que fait-on de cette masse de temps-libre que la satisfaction de nos besoins primaires nous a permis de libérer ? On la passe à consommer, à acheter des objets tous plus frivoles les uns que les autres, on s’invente des problèmes, on rumine notre passé, on se demande si la vie qu’on mène nous satisfait vraiment, on se pollue l’esprit en se remémorant les horreurs et les injustices que nous rabâchent les médias, etc.
Voilà pourquoi beaucoup d’Occidentaux se sentent déprimés et inutiles, même si cela ne constitue pas la seule et unique cause. A part se lever pour aller bosser, faire les courses et manger, regarder un film à la télé et payer leurs impôts, ils ne font presque rien d’autre et se demandent où tout cela peut-il bien conduire. Évidemment, passer sa journée entre le bureau et la télévision en se goinfrant de chips est un mode de vie tout à fait respectable et suffisant pour un grand nombre de personnes. Certains arrivent même à être heureux dans ces conditions ! Tant mieux pour eux, me diriez-vous.
Mais quand on est un être humain doté d’une certaine intelligence, d’une instruction, d’une soif de découverte et d’un minimum d’ambition, on ne peut se contenter d’une telle vie. C’est impossible, sous peine de péter un câble ou de s’assommer à coup d’alcool, de cachets ou de cannabis pour supporter cette réalité minable.
L’aliénation du salariat
Le travail, et principalement le salariat, a aussi contribué à généraliser cet état de déprime. Aujourd’hui, et quel que soit le secteur d’activité, une part non-négligeable des emplois subalternes ne consiste en rien d’autre pour ceux qui les occupent qu’à accomplir des instructions sans se poser de questions ou réfléchir. On suit un protocole, on remplit des cases, on obéit au chef et basta ! Le tertiaire est devenu l’usine Ford des années 2000.
Comment ne pas devenir un légume quand on a passé vingt ans d’affilée à suivre bêtement une procédure sans en saisir la finalité ?
Ce qui vous manque, c’est juste de trouver un sens à votre vie. Et ce sens, il se trouve dans l’accomplissement de vos rêves et de vos projets. Inutile de chercher plus loin. Passer à l’action pour entreprendre de grandes et belles choses est le remède à ce mal qui ronge l’Occident.
Et si vous ne savez pas comment vous y prendre, c’est tout simplement parce que vous n’avez pas défini vos objectifs, que vous n’avez pas de plan et d’agenda de vie.
Ce que vous devez faire : lister vos envies et vos projets, définir vos objectifs, les découper en petites tâches et les noter dans votre agenda.
Mais attention, cela m’a pris plus d’ 1 an pour y parvenir, car j’étais seul et n’avais aucune méthode.
Les risques d’abandonner, de se tromper et de perdre un temps précieux sont immenses.
C’est la raison pour laquelle j’ai décidé d’écrire Le Pouvoir de l’Agenda. Dans ce livre, je vous donne la méthode complète et détaillée qui vous permettra sans difficulté de créer votre agenda de vie, les pièges à éviter et les conseils qui m’ont permis de gagner en efficacité.
Important : si vous n’êtes pas motivés et décidés à passer à l’action, ce livre n’est pas pour vous.
Si par contre, l’envie de vous bouger les fesses et de donner une direction à votre vie vous démange, alors C’EST PAR ICI !
A tout de suite.