#quittersonboulot #quittersonemploi #changerdevie
Dans une société où une majorité écrasante d’emplois consiste à reproduire heure après heure, jour après jour les mêmes tâches rébarbatives et dénuées de réel sens, beaucoup s’interrogent sur les choix de vie qu’ils ont fait jusqu’à présent.
Pourquoi est-ce que je continue à occuper ce poste ?
Pourquoi cela fait-il 10 ans que je travaille pour un autre ?
Pourquoi je me rends chaque matin dans un bureau où mon seul plaisir de la journée sera le moment où l’heure de rentrer à la maison sonnera ?
Les réponses sauteront aux yeux : j’ai besoin de fric, je dois payer mon loyer et bouffer, j’ai le crédit de l’appart et de la bagnole à rembourser. Et puis, que pourrais-je faire d’autre ?
Si l’on résume les motifs qui nous poussent à occuper un emploi inintéressant, dans lequel on ne s’épanouit pas ou peu et qui, c’est un comble, est parfois mal payé, ce serait de dire que nous avons peur. Peur de tout perdre, peur de ne plus avoir d’argent, peur du jugement des autres, peur tout court.
Ce qu’il te manque pour franchir le pas et donner à ta vie professionnelle ce sens que tu ne vois plus aujourd’hui, c’est un déclic. Je dirais même deux déclics.
Je vais prendre mon exemple pour illustrer mes propos :
J’occupais un emploi depuis plus de 10 ans. Je faisais le job, j’étais impliqué et sérieux, mais quelque chose me manquait. J’étais salarié et j’avais besoin d’indépendance. J’avais des horaires fixes et cette envie d’organiser mon emploi du temps comme je le souhaitais me titillait.
Mon salaire et mes primes étaient plus que limités et encadrés, et je voulais exploser ces barrières. J’étais enfermé dans un bureau toute la journée et le soleil me manquait. Je passais mon temps auprès des mêmes personnes, et l’envie de voir le monde me rongeait.
Je n’ai pas eu de burn-out, cette sympathique formule visant à rendre plus cool et acceptable le mot dépression. Je n’en ai pas eu, car je savais qu’un jour je reprendrais les choses en main. Mais je ne savais pas quand, ni comment. Ma tête était pleine de rêves et d’ambitions, mais la peur avait fixé mon cul à cette putain de chaise de bureau. Et le temps passait… jusqu’au jour où je suis passé à l’action, sans doute effrayé de voir que j’approchais des 40 ans et que je n’étais pas éternel.
Ce congé sabbatique salvateur
Ce déclic m’a poussé à prendre un congé sabbatique de 8 mois (qui s’est transformé en 11) et à partir sur les routes d’Asie.
Au moment où j’écris ces lignes, j’entame mon 8ème mois, et devine quoi ? L’idée même de rentrer chez moi et de retourner au bureau pour retrouver la vie que j’avais avant de voyager est une option qui m’effraie. Mieux, c’est une option que je n’imagine même plus et que j’ai rayée de mon plan de vie. Après avoir goûté à la liberté suprême, tu ne peux plus redevenir un pion, un mouton, un esclave du tertiaire. Non, tu ne peux plus, car si tu reviens, tu signes ton arrêt de mort.
Quand on n’a jamais connu la liberté, être un esclave est supportable. Mais quand on l’a connu… La différence est comparable à celle qui sépare le fauve né dans un zoo du fauve capturé dans la savane à l’âge adulte et que l’on fout dans une cage. Le premier acceptera sa vie, il n’en connaît pas d’autre, mais le second, pleurera sa vie passée.
Je vais donc quitter mon boulot et tenter ma chance tout en conservant cette liberté de mouvement et de voyager. C’est à cela que j’aspire aujourd’hui.
Mon exemple n’en est qu’un parmi tant d’autres. Ce qu’il faut retenir, c’est cette histoire de déclic et de passage à l’action. Le déclic viendra naturellement si tu rêves d’une autre vie. Le passage à l’action est plus difficile.
Couper la poire en deux
Alors si toi aussi tu as peur de franchir le cap, de quitter un boulot qui ne te convient pas, tu peux faire comme moi et couper la poire en deux : tout quitter « provisoirement » et en toute sécurité en prenant un congé sabbatique ou un congé sans solde. La magie opérera sur le chemin. Ton état d’esprit va changer, ta confiance et ta foi exploser. Et une fois que ton mindset aura évolué à 180°, quitter ton boulot et démarrer une nouvelle vie t’apparaîtra comme une évidence, une nécessité. Et ta peur aura disparu.
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→ Créer ton agenda et en faire ton partenaire de vie
→ Adopter une attitude proactive et positive face aux éléments extérieurs
→ Sortir de la victimisation à la française
→ PASSER A L’ACTION et quitter le troupeau
Assez perdu de temps, c’est ici que ça se passe !