Comment passer une frontière sans billet retour ? 5 astuces pour voyager sans billet de continuation (et ne pas se faire refouler à l’aéroport)

Voyager sans billet d’avion retour est possible. Il existe des solutions.

Si vous n’avez encore jamais effectué de voyage longue durée, vous n’avez sans doute jamais été confronté à cette problématique. Mais de quoi parle-t-on exactement ?

La preuve de sortie du territoire

Quand un étranger débarque dans un pays via un aéroport, les douaniers vont (presque toujours) lui demander 3 documents :

  • Son passeport
  • Son visa
  • Son billet retour ou de continuation

C’est ce dernier document qui nous intéresse ici.

Mais au fait, c’est quoi un billet de continuation ?

Un billet retour est un billet d’avion pour un vol qui vous permet de retourner à la case départ, de l’endroit d’où vous venez. (Votre pays d’origine ou votre précédent lieu de séjour.)

Un billet de continuation, c’est un billet d’avion qui vous amène vers une autre destination, différente de celle de votre point de départ.

Exemple : vous décollez de Paris et vous atterrissez à Bangkok. Un billet retour est un vol en sens inverse, un vol Bangkok – Paris. Un billet de continuation sera par exemple un vol pour Hanoï, Manille ou Singapour.

Attention : pour être valable, un billet de continuation doit vous conduire vers un pays différent de celui dans lequel vous venez d’atterrir. Si vous arrivez à Bangkok et que vous présentez au douanier un billet pour Phuket, il ne le considérera pas comme un billet de continuation, puisqu’il ne vous permet pas de quitter la Thaïlande. Ce n’est pas une preuve de sortie du territoire !

Pourquoi le douanier vous le demande-t-il ?

Tout simplement parce qu’il veut s’assurer que vous avez l’intention et les moyens financiers de quitter son pays avant la fin de votre visa. En clair, le pays veut se prémunir contre les clandestins, les travailleurs illégaux, les petits malins, les touristes fauchés et les digital nomads en devenir qui ne gagnent pas encore leur vie et ne vont rien dépenser sur place.

Vacances VS voyage

Quand vous partez en vacances, votre séjour est défini et borné à l’avance. Si vous avez posé deux semaines de congés pour visiter la Thaïlande, vous savez précisément à quelle date vous décollez de France et à quelle date vous quittez la Thaïlande.

Par conséquent, vous possédez déjà votre billet retour. Et ce, avant même d’avoir atterri en Thaïlande. Aucune inquiétude à avoir par conséquent.

Mais quand vous voyagez sur le long terme, que vous entreprenez un road trip de plusieurs mois ou plusieurs années, les choses se compliquent.

Pourquoi ?

Parce que l’essence même du voyage, en tous cas tel que je le conçois, repose sur la liberté de mouvement, l’improvisation et les coups de cœur.

Mon road trip de 8 mois en Asie

Mumbai, Colaba – Inde

En 2018, j’ai posé un congé sabbatique et entrepris un voyage de 8 mois à travers l’Asie, de l’Inde aux Philippines, seul et en sac à dos. Une expérience extraordinaire qui a changé ma vie pour toujours. (Et que je raconte dans mon livre Aller simple pour la liberté.)

Évidemment, rien ne s’est passé comme prévu. Mon (pseudo) planning a volé en éclats au bout de quelques jours seulement. L’exemple le plus parlant est celui de Kuala Lumpur, en Malaisie. J’avais prévu de n’y rester que deux ou trois jours tout au plus… Au final, j’y suis resté près de trois mois.

Et c’est ce qui risque de vous arriver aussi. Une rencontre, un coup de cœur, un coup de blues, une déception, une envie soudaine, une idée de pays va forcément chambouler vos projets à un moment ou à un autre.

Ainsi, il vous sera impossible d’acheter votre billet de sortie du pays que vous visitez à l’avance. Car si vous le faites, vous cassez la magie du voyage et votre aventure va rapidement se transformer en une contrainte. (Obligé de quitter un pays où vous vous sentez bien ou à contrario, rester dans une région qui vous ennuie profondément.)

Du coup, comment faire pour passer les frontières sans billet retour ou de sortie du territoire ?

Je vous rassure, il existe des solutions. Plus ou moins coûteuses, plus ou moins risquées.

J’en ai comptabilisé 5. Et je les ai toutes testées dans différents pays asiatiques.

Nous allons les passer en revue.

Astuce n°1 : compter sur sa bonne étoile

Je vous l’accorde, ce n’est pas vraiment une astuce. Et c’est risqué. Mais je voulais quand même en parler, car il y a une petite chose à savoir :

Le contrôle des billets retour n’est pas systématique. Il va dépendre de l’humeur du douanier, de votre apparence ou de votre comportement qui peuvent paraître suspects pour une raison ou une autre et surtout, il va dépendre d’une chose essentielle :

La politique touristique en vigueur dans le pays. Et sa situation économique plus globalement.

Par exemple, quand j’ai débarqué au Sri Lanka en novembre 2018, je savais deux choses :

  • D’une part, que ce pays essayait par tous les moyens de relancer le tourisme. (Pour se refaire une santé après la terrible guerre civile qui l’a ravagé pendant plus de 25 ans.)
  • D’une autre, que le Sri Lanka ne faisait pas partie des destinations privilégiées par les Occidentaux pour s’y installer sur la durée. (Contrairement à la Malaisie et la Thaïlande, très populaires pour leur qualité de la vie.)

Par conséquent, les douaniers avaient forcément reçu la consigne suivante de la part de leur hiérarchie :

« N’emmerdez pas les touristes, nous avons besoin de leur argent. »

Et j’avais vu juste : personne ne m’a demandé de billet d’avion de sortie du territoire.

En conclusion : tentez le coup de chance, mais seulement si vous avez « étudié » la situation du pays au préalable.

Astuce n°2 : choisissez votre cible et préparez votre speech

Là aussi, il y a un risque. Mais ça peut marcher.

Prenons mon exemple :

J’étais en Inde, à Cochin, dans le Kerala. J’arrive à l’aéroport afin d’embarquer pour le Sri Lanka. Sans billet retour, comme je l’ai déjà dit.

Car il y a autre chose à savoir : le douanier du pays d’accueil n’est pas le seul à pouvoir vous demander votre billet de sortie. La compagnie aérienne du pays de départ peut aussi l’exiger avant de vous délivrer votre carte d’embarquement.

Pourquoi ? Parce que si elle vous laisse décoller et qu’à l’arrivée le douanier s’aperçoit que vous ne possédez pas le fameux doucement, c’est la compagnie aérienne qui va devoir payer votre expulsion du territoire. En clair, le billet d’avion retour est à sa charge.

À chaque vol, le risque est donc multiplié par deux.

Loukas Montclar actualités voyage, écriture, dev perso

Mais revenons à nos moutons :

Arrivé devant le comptoir d’enregistrement, j’ai observé le personnel de la compagnie aérienne pendant quelques minutes. Et j’ai choisi ma « cible » :

Une jeune femme de même pas 20 ans. Une débutante à en juger les questions qu’elle n’arrêtait pas de poser à son manager. Je me dirigeais donc vers elle, me disant :

« Il y a peu de chance que cette fille peu sûre d’elle et inexpérimentée fasse preuve de zèle à mon égard. »

Et en effet, elle ne m’a rien demandé. Enfin, presque rien. Elle m’a juste demandé de lui communiquer la date à laquelle j’avais prévu de quitter le Sri Lanka. Une date fictive que je lui ai donnée sans hésiter une seule seconde (car j’avais pris soin d’en mémoriser une avant de me présenter devant son comptoir. Histoire de ne pas bafouiller et de me faire griller.)

Astuce n°3 : acheter un vrai billet d’avion

Là, on entre dans le concret. Les astuces infaillibles. Mais qui ont un coût…

Alors, vous allez me dire :

« Super l’astuce ! Je n’ai ni l’envie ni le budget de payer un billet d’avion que je ne vais pas utiliser ! »

Et vous avez raison.

Sauf qu’il y a parfois moyen de s’en sortir à peu de frais.

Une nouvelle fois, prenons un exemple concret :

En novembre 2018, je débarque à Kuala Lumpur, en Malaisie. Et cette fois-ci, il n’est plus question de tout miser sur la chance. Pourquoi ? Parce que j’ai lu partout que les contrôles étaient systématiques dans ce pays. Pas de corruption ni de laisser-aller. La Malaisie est l’un des pays les plus riches et les plus modernes d’Asie du Sud-Est. Par conséquent, tout le monde veut s’y installer. La politique touristique est donc intransigeante : pas de billet de sortie, pas d’entrée. Circulez, y’a rien à voir !

J’ai donc décidé d’acheter un vrai billet d’avion, que je n’avais nullement l’intention d’utiliser. Le point positif, c’est que la situation géographique et économique de la Malaisie me permettait de gruger à moindre frais.

D’abord, parce que la capitale malaisienne se situe à seulement 300 bornes d’un autre pays : Singapour.

Ensuite, parce qu’il existe une profusion de compagnies aériennes low-cost dans la région.

Ni une ni deux, je me suis dégoté un billet d’avion KL – Singapour pour moins de 30 euros.

Un investissement léger qui en valait le coup. En effet, la compagnie aérienne comme la douanière ont exigé que je leur montre mon billet de continuation.

Malheureusement, cette option n’est pas toujours possible. Parce que le pays que vous visitez n’a pas de frontières proches avec un autre pays. (C’est le cas de certaines îles).

Parce qu’il est en conflit avec les pays qui bordent sa frontière (comme le Pakistan et la Chine avec l’Inde). Et qu’acheter un billet d’avion fictif vers l’un de ces pays « ennemis » risque de vous attirer plus d’ennui et de suspicion qu’autre chose.

Parce qu’il n’y a tout simplement pas de compagnies low-cost qui desservent les pays voisins.

Une fois de plus, tout va dépendre du contexte géographique et économique du pays que vous visitez. À vous d’étudier la situation en amont et d’agir en conséquence.

Astuce n°4 : acheter un ticket de bus

Un billet de car, pour être plus précis et éviter la confusion.

Normalement, cela suffit à passer la douane. Je dis bien normalement. Comme à chaque fois, renseignez-vous avant en interrogeant d’autres voyageurs.

L’avantage de cette astuce est qu’elle est encore moins coûteuse qu’un billet d’avion low-cost. Je l’ai testée et cela m’est revenu à approximativement 15 euros.

Mais une fois de plus, tout va dépendre de la situation géographique du pays et de l’existence ou non d’un réseau de bus transfrontalier.

L’un des endroits au monde les plus propices à ce type d’astuce est la partie continentale de l’Indochine : Vietnam, Cambodge, Thaïlande et Laos, notamment. Ces quatre pays ont presque tous des frontières communes. Et surtout, des distances relativement faibles entre certaines de leurs villes.

Dans mon cas, lorsque je me suis rendu au Vietnam par voie aérienne, voici ce que j’ai fait :

J’ai acheté sur internet un billet de car reliant Saïgon à Phnom Penh, au Cambodge. Les deux villes sont distantes de seulement 220 kilomètres. Et comme le Vietnam et le Cambodge demeurent des pays relativement pauvres comparé à la Malaisie ou à la Thaïlande, les gens privilégient le bus à l’avion. Ce type de trajet est donc habituel. Et personne ne trouvera votre choix suspect.

Une nouvelle fois, ça a marché pour moi !

Astuce n°5 : acheter un billet d’avion provisoire (Onewayfly)

Chaque problématique implique une solution. Et pour chaque problématique, un entrepreneur audacieux et malin trouvera et vous vendra cette solution.

C’est ce que font désormais certains sites internet, dont le plus célèbre est Onewayfly. (Que je n’ai pas eu l’occasion de tester.)

Mais il y en a d’autres, comme Bestonwardticket. C’est par eux que je suis passé à l’époque pour gruger une fois encore.

Comment fonctionnent Onewayfly, Bestonwardticket et les autres ?

C’est très simple :

  1. Vous vous rendez sur leur site internet.
  2. Vous leur indiquez de quelle ville vous souhaitez (feindre de) prendre un avion.
  3. Vous choisissez la date. (Toujours antérieure à la date de fin de votre visa, s’il fallait le préciser.)
  4. Vous leur donnez votre e-mail et vos informations personnelles.
  5. Et vous payez (entre 10 et 15 euros selon le prestataire.)

Quelques heures plus tard, vous recevez dans votre boîte mail un billet d’avion. Un vrai, tout à fait valide. Votre avion décolle de la ville que vous avez choisie et atterrit… quelque part. (Ce sont eux qui choisissent votre destination en fonction de leurs propres critères, probablement économiques.)

Ensuite, à vous de jouer :

Vous avez approximativement 48 heures (le délai peut varier) pour présenter ce vrai-faux billet de sortie du territoire à la compagnie aérienne et à la douane.

Passé ce délai, votre billet d’avion sera « désactivé »…

Assurez-vous donc de respecter le bon timing entre le moment où vous réservez votre « faux » billet et le moment où vous avez prévu de l’utiliser. (De le présenter à la douane).

Une sorte de location de billet d’avion

Ce que fait ce genre de sites est à priori légal. Même si, de mon point de vue, on frôle l’arnaque. Je suis étonné qu’aucune compagnie aérienne ne leur ait encore intenté de procès. Mais ce n’est pas nous qui allons nous en plaindre, bien au contraire.

Concrètement, le site par lequel vous êtes passés achète un vrai billet d’avion à une compagnie aérienne. Puis au bout de 48 heures, il leur demande une annulation et un remboursement. Fin de l’histoire.

J’ai personnellement testé cette astuce et tout s’est déroulé à merveille.

Voyager sans billet retour : quels sont les risques ?

Vous vous demandez sûrement : et si je me fais attraper sans billet de sortie, que se passe t-il ?

Deux cas de figure sont possibles :

1. Si vous vous faites choper à l’aéroport de départ (et donc par la compagnie aérienne), rien n’est perdu. J’ai moi-même assisté à ce genre de scène à l’aéroport de Colombo, pour un vol en direction de Kuala Lumpur.

Un type qui était devant moi dans la queue s’est vu exigé de présenter son billet de sortie de Malaisie par la femme procédant à l’enregistrement. Il n’en avait pas…

Résultat : il a été obligé d’acheter un vrai billet d’avion depuis son smartphone. (Pas le temps de passer par un loueur de billet sous peine de rater son vol.) Le hic, c’est que ça a du lui coûter la peau du c.. Une situation à éviter pour le coup.

2. Si vous vous faites choper à l’aéroport d’arrivée, là, vous êtes mal. Les douaniers ne sont ni des commerciaux ni des plaisantins. Il y a peu de chances qu’ils vous laissent l’opportunité d’acheter un billet d’avion en direct sous leur yeux. Ces types ne sont pas du genre à se faire prendre pour des couillons. La plus grande probabilité est que vous deviez rebrousser chemin et embarquer pour le prochain vol en direction de votre aéroport de départ. La loose avec un grand L!

Soudoyer le douanier ?

Ceci dit, vous pouvez toujours tenter le bakchich. Certains pays en sont les spécialistes. (Je relate dans mon livre une anecdote à ce sujet qui a failli me coûter très cher à l’aéroport de Saïgon.)

Proposer un p’tit billet au douanier pour qu’il ferme les yeux est tout à fait courant dans certains pays. Mais là encore, c’est à vos risques et périls. Si vous tombez sur le mec le plus incorruptible de l’aéroport, vous pourriez avoir de sérieux problèmes.

Je glisse l’idée à tout hasard, mais je me désengage de toute responsabilité si vous vous retrouvez en taule dans une cellule de Bangkok ou Manille 😉.

Es-tu en train de préparer un long voyage ?

Si c’est le cas, tu dois penser à un tas de choses et de sujets à régler :

Ta banque, tes démarches administratives, ton boulot, ton matos, ton appart, tes meubles, tes forfaits, ton téléphone, tes visas, ta domiciliation, tes impôts, tes assurances, ton patron si tu en a un, ton budget, tes prévisions, ton planning, ton projet, tes bagages, la taille de ton sac, les hôtels à booker… etc.

Autant de problématiques et de questions auxquels j’ai été moi-même confrontées avant d’entreprendre mon road trip de 8 mois en Asie. Comme cette histoire de billet de sortie du territoire…

Du coup, j’ai déjà tout testé et expérimenté. Le bon et le mauvais, les indispensables et les inutiles.

C’est la raison pour laquelle j’ai créé un guide sous forme de podcasts qui regroupe tout ce qu’il y a à savoir et à faire avant de se lancer dans un tel périple.

Un guide qui répond à des questions que tu ne t’es pas encore posées (et que tu te poseras comme moi, trop tard, une fois sur place.)

Un guide qui vise à atteindre trois objectifs :

  1. T’éviter de perdre des mois à chercher les infos dont tu as besoin à droite et à gauche.
  2. Anticiper les problématiques que tu risques de rencontrer durant ton aventure.
  3. Te simplifier la vie afin que tes préparatifs se fassent de façon sereine, efficace et rapide.

Deux heures de podcasts dans lesquelles j’ai réuni l’essentiel. Un condensé des choses à faire et à savoir. Un échange de bonnes pratiques basé sur mes 8 mois de voyage et mes (presque) 1 an de préparation. Une préparation qui peut s’avérer beaucoup plus courte si l’on dispose de toutes les informations nécessaires dès le départ.

Ensemble, nous allons passer en revue toutes les questions que tu te poses. Et surtout, nous allons y répondre.

Voici le programme détaillé :

Argent et banque :

  • Que faire avec ton compte courant ?
  • Comment limiter les frais bancaires à l’étranger ?
  • Quelles sont les erreurs fatales à ne pas commettre ?
  • Quelle banque choisir pour ton voyage ?
  • Quels critères ?
  • Quelles cartes bancaires, quelles offres ?
  • Visa ou Master Card ?
  • Quand faire le nécessaire ?
  • Comment être sûr que ta banque est fiable et réactive en cas de problème ?
  • Ce que tu dois absolument dire à ton conseiller bancaire sous peine d’avoir une mauvaise surprise.
  • La chose à ne surtout pas faire une fois sur place.
  • Ce qu’il faut anticiper avant de partir.
  • L’astuce ultime pour éviter les galères.

Tes documents :

  • Que faire avec tous tes documents officiels ?
  • Quel document que tu n’as probablement pas dois-tu faire avant de partir ?

Les impôts :

  • Que dire à l’administration fiscale ?
  • Quel statut, adresse leur donner ? Où te domicilier durant ton absence ?
  • Que faire s’ils te demandent de payer la taxe d’habitation à ton retour ?
  • Que faire avec les autres administrations ?

Ton appartement :

  • Que faire si tu es en location ?
  • Que faire si tu es propriétaire ?

Ton congé :

  • Que faire si tu es salarié ?
  • Que choisir entre le congé sans solde et le congé sabbatique ?
  • Ton employeur va-t-il accepter ton départ ?
  • Comment maximiser tes chances de le convaincre ?
  • N’oublie pas de dire ça au RH !

Tes forfaits :

  • Que faire avec ton forfait téléphone / internet ?
  • Que faire sur place ?
  • Que faire avec tes autres forfaits ? (Netflix, Deezer, club de gym…)

L’assurance voyage :

  • Faut-il en prendre une ?
  • Que risques-tu si tu n’en prends pas ?
  • Une petite astuce pour économiser un ou deux mois d’assurance. (Si tu en prends une).
  • N’oublie pas de résilier cette (autre) assurance avant de partir !

Tes affaires :

  • Que faire de tes affaires ?
  • Quelles options pour le stockage ?
  • Et si tu profitais de ce voyage pour faire ça ?

Économies et budget :

  • Comment faire des économies ?
  • Une petite astuce pour gagner de l’argent… et du temps en rab’.
  • N’oublie pas de faire ça avant de partir…
  • Ton budget : attention à cette erreur que tout le monde commet (et moi le premier !)
  • Et le Covid dans tout ça ? On en parle ou on n’en parle pas ?

Ton planning d’avant départ :

Comment découper tes tâches grâce à un agenda ? (Pour ne rien oublier et ne pas te mettre de stress.)

Un dernier conseil : le piège à éviter qui pourrait te dissuader de partir.

Itinéraire et choix du mode de voyage :

  • Ton itinéraire : ne fais pas comme moi !
  • Ce que tu avais prévu… et ce qu’il va se passer une fois sur place.
  • Partir seul ou à deux ? Les avantages et les inconvénients.
  • L’intérêt de partir seul(e).

Ton bagage :

  • Quel bagage choisir ? (Les pièges à éviter).
  • Le bon état d’esprit à avoir.
  • Que prendre avec toi : les indispensables et les « au cas où ».
  • Petite astuce si tu portes des lunettes de vue.

Tes projets :

  • Pourquoi te trouver un projet et des objectifs ?
  • Faut-il amener un ordinateur portable ?

Une fois sur place :

  • Hébergement : que faire au début du séjour ? Et ensuite ? (L’erreur à éviter).
  • N’oublie surtout pas de faire ça si tu ne veux pas te faire refouler à l’embarquement ou à la douane. (Ça, on vient déjà de le voir ensemble 😉)
  • Quelques conseils pour éviter les arnaques.
  • Aéroport et poids de ton bagage : une petite astuce pour toujours rester léger (et ne pas payer de supplément).
  • Comment se comporter à l’étranger pour ne pas attirer les ennuis ?
  • Un dernier conseil avant de partir…

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